Ymhawa

Tonawawta

Homme

Fin fond du Xak Tural

26 cycles

Fraternité

Il ne jure que par la nature

Chasseur (pas de monstres) – Tireur de précision

Sociabiliser / Perfectionner ses techniques de chasse au contact d’autres chasseurs/cultures / Peinturer – bien que son « talent » en la matière soit assez discutable

Céruléens

Roux

Athlétique

166cm

64kg

Il ne se sépare jamais – ou presque – du serre-tête chamarré qu’il arbore constamment autour d’un de ses poignets, d’une cheville ou du manche de son arc. Mais on ne le voit à aucun moment le porter sur sa tête, là où il devrait être…

Affable, souriant et convivial, lorsqu’on aperçoit Ymhawa pour la première fois, on peut presque aussitôt deviner qu’il s’agit d’un gars simple et agréable à côtoyer avec qui il est aisé de converser. Bien qu’il s’approche lentement du trentième cycle, on pourrait difficilement lui reconnaître cet air de bougre mature et accompli – ou en passe de l’être – que renvoient certains de ses homologues. Le Tonawawta est un vent de fraîcheur, de tempérance et de bonne humeur. Toutefois, on peut remarquer à ses quelques estafilades qu’il ne doit pas en être à ses premières péripéties – et cet arc en bois ouvragé qu’il porte sans relâche à son épaule tel le fier allié qu’il est vraiment, secondé de son carquois et de ses flèches, n’est pas sans soulever de potentielles activités reliées à la chasse.

Acquérir de nouveaux savoirs, les gens qui ne se prennent « pas trop » au sérieux, danser sous la pluie, la peinture et les pampas

Être pris en pitié, qu’on lui crie dessus (ça le rend émotif), l’insouciance vis-à-vis de la nature, la cruauté gratuite et l’appât du gain

Altruiste

Naïf

En plus de son attirail de chasse, Ymhawa a pour coutume de se coltiner le poids d’un sac à dos bien rempli. Pour cause, il n’a pas de domicile fixe et trimballe donc toutes ses affaires personnelles d’un endroit à un autre. Qu’il s’agisse de son matériel de pistage, d’instruments pour sa toilette ou de quelques étoffes, pour ne citer que ça, il trouve toujours de la place pour y ajouter de nouveaux items. Le tri est fait quotidiennement, ce qui est SOMEHOW excellent pour développer un bon sens des priorités… Enfin, ça c’était avant qu’il ne prenne définitivement ses marques sur l’Olympe, mais on ne change pas les vieilles habitudes du jour au lendemain, pas vrai ?

S’il n’a pas mis le pied dans le Xak Tural ces derniers temps, Ymhawa s’est toutefois forgé une petite réputation du côté de Tuliyollal et du Yok Tural. Entre son assiduité sur les contrats de chasse visant la régulation des espèces et ses relations amicales avec les différents peuples du Tural, il s’est graduellement érigé en figure fiable et réceptive aux changements, MAIS très « by the book » sur ce qu’il décrit comme « le respect de la nature et tout le bla-bla-bla ». Il est très sympathique, JUSQU’À ce qu’on mette en péril le si précieux équilibre environnemental. Ceux qui le connaissent le savent : ça lui tient à cœur. Un peu trop, d’ailleurs.

Nouveau chez la Fraternité, Ymhawa ne s’attendait absolument pas à obtenir toute la confiance du groupe dès le départ, mais il ferait son possible pour la mériter lors des soleils à venir. Considérant son arrivée comme une immersion culturelle à part entière, il prévoyait certes véhiculer les valeurs préservées par sa tribu de génération en génération où que le mènerait le vent, mais sans jamais les imposer. Guidé par d’anciens esprits – paraît-il -, il n’avait à présent plus qu’à braver ses peurs et à repousser ses limites. Or, il n’était plus seul dans cette quête. Ses nouveaux compagnons étaient là pour l’épauler et vice-versa.